19 novembre 2008
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Lundi, 8h30, le Consuel est venu vérifier la conformité de l'installation électrique. A part quelques menus détails à revoir, notre installation électrique est CONFORME. C'est notre électicien qui est fier ; bravo Abdeljalil ! Puis, dans la foulée, nouveaux contacts avec EDF, ERDF pour, toujours pareil, obtenir le raccordement provisoire et le définitif. Tout semble rentrer dans l'ordre. Nous serons "provisoirement" raccordés" mardi 25 novembre. OUF ! Pour le définitif... C'est beaucoup moins rapide, nous pouvons espérer une intervention (non malheureusement pas divine) début janvier, soit environ 2 mois après la demande. Un si long délai pour raccorder, simplement deux fils !!! Il était de bon ton de railler le peu d'empressement à la tâche des agents d'EDF lorsqu'ils étaient (encore) fonctionnaires. Aujourd'hui, ils ne sont plus (beaucoup) fonctionnaires, pourtant ils ne sont guère plus véloces !
Sinon, les appareils sanitaires ont été livrés hier. Baignoire, bac à douche, wc(s), robinets, bondes... Michel BOURGEOIS, le plombier, viendra la semaine prochaine poursuivre et terminer l'installation sanitaire. Au moins, avec un peu de chance, il aura l'électricité. De la lumière et de l'eau, c'est déja pas rien.
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14 novembre 2008
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Tout fout le camp... Surtout nos services publics. Ceux de l'énergie ne dérogent, malheureusement, pas à ce triste constat. Alors que la chape finale est sèche et que l'installation électrique est presque opérationnelle, il devient nécessaire d'obtenir le courant. Jusqu'ici nous avons pu effectuer les différents travaux à l'aide d'un groupe électrogène bien pratique. Aujourd'hui, il faut rapidement mettre la chape en chauffe avant l'intervention du carreleur. Il devient donc urgent de se raccorder au réseau si l'on veut pouvoir déménager fin décembre.
Nous avons donc pris contact avec EDF pour le branchement de la maison. D'abord l'électricien puis, nous. Et c'est là que les choses se compliquent sérieusement. Auparavant (avant la privatisation) vous aviez un interlocuteur unique ; et, ce, quelque soit votre requête ? Aujourd'hui, filialisation oblige, vous avez affaire à EDF qui commercialise l'électricité, mais aussi à ERDF qui la distribue. C'est là que tout se complique. Plus vous multipliez les intervenants, plus vous diluez la responsabilité de chacun et les prises de décision sont donc plus difficiles. Les uns vous renvoyant vers les autres. Phénomène aggravant : la fameuse concurrence ; maintenant EDF veut être certain qu'il sera votre fournisseur officiel d'énergie avant de vous procurer le service demandé ou les informations necessaires ! Honteux.
Les délais annoncés sont tout bonnement inacceptables : entre 4 et 6 semaines pour obtenir un raccordement. Pourtant tout est prêt ; le câble d'alimentation est installé, l'installation électrique est terminée, le consuel est passé... Il suffit juste de B.R.A.N.C.H.E.R. deux fils et mettre les fusibles dans le coffret EDF. 2 heures de travail maximum. Il semblerait que deux, voir trois techniciens différents vont devoir se déplacer pour une opération, somme toute, relativement simple.
Devant l'urgence d'un branchement, quel qu'il soit, nous nous sommes donc rabattus sur un raccordement provisoire, avec un coffret "mis à disposition" par notre électricien. Dix jours de délai selon EDF... Et 180 €uros de frais supplémentaires.
La privatisation d'EDF est une ineptie dont nous voyons les effets immédiats auprès des usagers. les profits colossaux de cette entreprise sont scandaleux et inversement proportionnels aux service rendus. Pour autant, pas question de faire appel à la concurrence. On est optimiste et on pense sérieusement que dans quelques temps, EDF reviendra une entreprise nationalisée ; pour le plus grand bonheur des
clients !
En attendant, un conseil : prenez contact dès le début de vos travaux et maintenez le contact régulièrement ; de cette façon, vous aurez peut-être de l'électricité lorsque vous en aurez besoin !
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10 novembre 2008
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Je réclame depuis des jours à Fred un p'tit article sur la déco à venir... C'est quand même pas trop tôt ! Mais la déco, il s'en f.... Alors, je m'y colle.
On a choisi le carrelage de la grande pièce, du cellier, des salles de bains et des toilettes : il est gris anthracite mat, avec quelques reflets mais j'espère pas trop, format 30 sur 60 (cm). J'aimais bien un autre : un chouias plus foncé, sans reflet, 50 sur 50 mais la taille me semblait trop importante pour les WC ou les salles de bains. En plus, il était plus cher ! Les sols des chambres des enfants seront en parquet stratifié, la notre certainement en jonc de mer. Reste le problème de l'entrée, couloir... On ne sait pas encore vraiment quoi mettre car il faut que ce soit pas trop moche, facile à nettoyer et pas cher .
Les murs seront tous peints : blanc principalement, un mur rouge dans l'entrée, peut-être un peu de couleur dans l'angle derrière le canapé (gris souris si les rideaux le sont.... à voir). L'autre point de couleurs dans la grande pièce sera la crédence de la cuisine mais j'en parlerai plus tard (pas tout d'un coup pour ma première fois). Dans le couloir un peu de couleur pour chaque porte (des 3 chambres enfants + la salle de bains) : chaque porte reprendra une couleur de la chambre. Aglaé se la joue mode (normal elle regarde la belle blonde sur M6) avec un mur (celui de son bureau) violet foncé et les autres verts (anis très clair) ; sa porte côté couloir sera donc violette. Germain va avoir du peps avec le mur de son bureau orange (un vrai qui pète), les autres murs certainement orange sur 1 mètre et blancs au -dessus ( ou tout blanc si un mur suffit !!) ; sa porte sera... orange ! Paul s'accorde aux groupes de rock (ou aux affiches de propagande soviétique), avec un mur rouge (celui de ses fenêtres), un gris et les autres blancs ; sa porte sera... rouge. Quant à la porte de la salle de bains, peut-être bleu turquoise car il y en aura dans le carrelage (blanc avec quelques rayures grises et turquoise) . Notre chambre ? sous-couche de blanc pour l'instant et je sais pas , certainement majoritairement blanche. Notre salle de bains aura du carrelage blanc et une frise horizontale de deux tons de gris. Les WC seront carrelés de blanc avec une frise avec les restes de carrelage de la crédence de la cuisine (dont je reparlerai plus tard car pas tout d'un coup ...).
La prochaine fois, je vous raconte : la cuisine (et sa crédence colorée), les meubles de salle de bains ( tout ça viendra de ce célèbre magasin venu du froid), peut-être le joli coffre fabriqué par Fred pour ranger le bric-à-brac de l'entrée, le porte manteau crée et fabriqué par moi (si, si), la future bibliothèque de la grande pièce dessinée par mes soins (mais faut pas rêver, elle sera fabriquée par Fred) et le bureau lui aussi conçu par moi et réalisé par mon boy. AH ! ça a du bon un homme qui aime le bricolage. Tout ça sera peut-être agrémenté d'images si je trouve comment on fait ou si Fred veut bien me le faire ( AH ! ça a du bon un homme qui aime l'informatique... et c'est encore mieux quand c'est le même qui bricole et qu'en plus on l'a épousé... En passant cela fait bientôt 15 ans, pas mal pour un mariage administratif !)
Tout ça ce sera la prochaine fois (car pas tout d'un coup... Vous connaissez le refrain).
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7 novembre 2008
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Le chauffage, voilà un sujet "qui fait causer" lorsque l'on construit une maison. ; qui plus est, dans une région "fraîche". Chacun y va de son conseil, de son expérience. Le fioul, le gaz, le bois, la géothermie, l'aérothermie, le solaire... Mais rare sont ceux capables de vous expliquer clairement et objectivement les raisons de leur choix. Chaque mode de chauffage a ses suppoters et ses détracteurs, et les discussions s'apparentent souvent à des querelles de clochers où chacun prêche pour sa paroisse. Seule l'électricité fait l'unanimité... Contre elle, bien sûr ! Factures trop chères, chaleur désagréable, appareils laids, etc, etc. Bien peu loue les vertus du chauffage électrique dont la mauvaise réputation reste tenace dans l'esprit collectif ; ce malgré les progrès technologiques des appareils mais aussi des régulations et des programmateurs. Pourtant, nous installons un chauffage électrique ! Pourquoi me direz-vous ? Pour deux raisons principales. D'abord le coût de l'installation. Celui-ci reste très compétitif par rapport à une installation thermique classique avec chaudière. Ensuite, parce que le chauffage électrique nous paraît pratique et simple. Pas de cuve de combustible à faire remplir périodiquement, pas de chaudière ou de compresseur à faire entretenir régulièrement, pas de bruit, pas d'odeur... Nous avons donc opté pour un planché chauffant rayonnant dans la pièce de vie, dans l'entrée et dans les deux salles de bains. Et des "grille-pains" modernes dans les chambres. Le tout géré par un programmateur deux zones et des thermostats dans les pièces concernées. Notre électricien a choisi la marque ATLANTIC.
De plus, notre maison est correctement isolée, selon les normes actuelles. La pièce principale bénéficie d'une surface vitrée importante, laissant largement entrer le soleil. Autant d'éléments qui devrait réduire l'usage des résistances. Sans compter, pour dire toute la vérité, que nous installons également un POELE A BOIS couplé à un système de récupération de la chaleur. Donc, nous espérons ne pas "trop" utiliser le chauffage électrique, à part peut-être dans les salles de bains et lors d'absences prolongées.
Le poêle à bois est un France Turbo, modèle Turbo Flam couleur anthracite, sortie par le dessus. Puissance de chauffe : 8 kw, volume de chauffe : 200 m3, Bûches de 40 cm.
En Franche-Comté, le bois est abondant et les prix sont raisonnables (28 - 30 € le stère livré en 1mètre).
Voilà, en espérant avoir trouver "le bon compromis" entre la praticité et la souplesse du chauffage électrique et la chaleur du feu de bois.
- voir aussi le palan.
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5 novembre 2008
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Régulièrement, nous "écumons" les blogs traitant du sujet qui nous mobilise actuellement : la construction d'une maison neuve. Beaucoup d'entre eux font état de leur projet développé avec un pavillonneur. Certains articles, relatant les différentes étapes du projet, nous paraissent tout bonnement EFFRAYANTS et les expériences vécues seraient, pour nous, très DOULOUREUSES. En effet, beaucoup d'éléments rapportés mettent en évidence la chance que nous avons dans notre "entreprise" quant à la manière dont notre projet évolue, sur le fond, comme sur la forme.
Nos premiers contacts avec Gérard DEBOURGE, notre maître d'oeuvre, date du mois d'octobre 2007. Depuis, cette date nous l'avons rencontré à une quarantaine de reprises à notre domicile ; pour le pré-projet, le projet, le dépôt du permis de construire, le choix des artisans, les modifications nombreuses et variées, les adaptations, le suivi du chantier... Dès le démarrage des travaux, c'est au minimum une visite de chantier par semaine et de nombreux échanges téléphoniques ; quasi quotidiens.
La phase précédent les travaux peut paraître longue. Néanmoins, cela nous a permis de nous approprier pleinement le projet. D'une certaine manière, nous étions déjà "propriétaire" du projet tant celui-ci a été, maintes fois, revu. Les plans réalisés au départ n'ont pas, par la suite, subit de modifications importantes. Dès le départ, Gérard DEBOURGE avait bien anticipé nos besoins et nos attentes. Pourtant, tous les changements, même de dernières minutes, ont toujours été possibles dès lors qu'ils n'influaient pas sur le coût de la construction ou les caractéristiques techniques et architecturale initiales. Aucune plus-value n'étant facturées lors de ces modifications.
Nous avons la chance de résider à quelques centaines de mètres du chantier ; cela nous permet d'être souvent présents sur le chantier, dans la maison, auprès des artisans. Dès la maison hors d'air nous avons reçu la clé de la porte d'entrée et nous nous y rendons chaque jour. Nous pouvons donc nous "projeter" sans cesse. Alors que beaucoup de futurs propriétaires observent, résignés, l'évolution de leur construction de l'extérieur, sans avoir la possibilité de rentrer "chez eux" : frustrant, voire rédhibitoire. Cela nous permet également d'informer régulièrement le maître d'oeuvre de l'avancée des travaux et des éventuels problèmes rencontrés afin d'y remédier rapidement et efficacement.
Des relations régulières et étroites avec les différents artisans facilitent également le bon déroulement de la construction et permettent d'améliorer sans cesse le projet, au fur et à mesure de son évolution. Nous pouvons donc nous impliquer pleinement en effectuant nous-même certains travaux (la terrasse, le bardage bois, la balustrade, l'isolation du sol...). Dans le même temps, nous gagnons du temps ; ce qui est fait n'est plus à faire ! Mais aussi de l'argent.
Le choix d'artisans s'est parfois naturellement imposé (prix, qualité du travail), d'autres corps de métier ont été mis en concurrence, sur le montant du devis, sur la disponibilité ou les choix techniques. Ces choix s'effectuent toujours en concertation avec le maître d'oeuvre. Ceci est rarement possible avec un pavillonneur.
Comme vous l'aurez compris nous défendons ici une vision "artisanale" de la construction. Un projet immobilier est un acte important dans la vie d'une famille, c'est un moment important, un engagement fort et donc beaucoup d'émotions. De manière générale, cette période est particulièrement anxiogène et surtout chrono-phage. Elle nécessite donc un environnement favorable et un sentiment général de confiance pour qu'elle soit aussi un moment de plaisir, de joie et non un "parcours du combattant" .
La qualité des relations humaines autour de laquelle se développe le projet est donc primordiale. C'est pour cette raison que nous pensons intéressant de privilégier une approche plus individuelle au travers d'une personne "référente", comme l'architecte ou le maître d'oeuvre, et par conséquent moins industrielle ou commerciale. Il ne s'agit pas ici de dénigrer les pavilonneurs, ils répondent à un besoin ; de plus chacun fait comme il l'entend. C'est un choix personnel qui n'enlève, évidemment, rien aux autres modes de construction. Mais les objectifs des uns et des autres sont différents et ne servent pas les même intérêts.
Aujourd'hui, avec un peu de recul, nous avons le sentiment d'avoir une maison qui répond au cahier des charges que nous nous étions fixé au départ. Une maison personnalisée qui correspond à nos attentes, à nos besoins. Elle est simple, fonctionnelle, lumineuse. Son architecture est classique pour s'intégrer dans un environnement rural. Mais elle est aussi particulière et unique puisqu'elle est dessinée selon l'inspiration et le "coup de crayon" du maître d'oeuvre, Monsieur DEBOURGE.
Sa disponibilité, son écoute attentive, ses conseils, son implication, berf son professionalisme et certainement sa personnalité ont contribué, et contribuent encore, à faire naître un sentiment fort. Celui de nous donner l'impression d'habiter, déjà, cette maison mais aussi qu'elle nous "habite." En espérant que ce sentiment agréable ne cesse de s'accommoder du temps qui passe.
Alors un petit conseil amical aux futurs propriétaires, consulter aussi les architectes et les maîtres d'oeuvre autour de chez vous et comparer leur prix et prestations avec ceux des pavillonneurs. Vous aurez peut-être de bonnes surprises.
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5 novembre 2008
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Monsieur KARP est venu, comme prévu, hier après-midi ; la chape finale est coulée. Notre maison ressemble de plus en plus à une "maison", elle a presque un "vrai" sol. Temps mort pendant quelques jours, juste le temps de laisser le béton durcir suffisamment pour de nouveau rentrer à l'intérieur. Si tout va bien, le carrelage pourrait être posé début décembre. En attendant, on va peut-être pouvoir peindre les chambres. 4, c'est le nombre d'artisan qui vont encore intervenir : l'électricien qui termine son installation, le plombier qui la poursuit, le carreleur et le façadier. Monsieur BERTIN, le charpentien, reviendra certainement installer le conduit de fumisterie pour le poêle. Monsieur DOCK de Portes, Volets, Fenêtres repassera également pour les derniers réglages et quelques finitions.
Pour le reste, c'est nous ! La peinture, le sol des chambres, l'aménagement des placards, le montage de la cuisine, des meubles de salle de bain, la faïence des wc, les plinthes bois... Et tout le reste.
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2 novembre 2008
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1 novembre 2008
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Souvenez-vous ! c'était au milieu des années 1970, après le premier choc pétrolier ; ce slogan gouvernemental destiné a rassurer l'automobiliste : "en France, on a pas de pétrole mais on a des idées" 35 ans plus tard, on a toujours pas de pétrole, on est plus que jamais en "crise", notamment lorsque l'on construit une maison. Alors il nous faut des idées. Une idée, il a effectivement fallu en trouver une lorsque le ponçage des bandes de Placo, des murs et des plafonds, a débuté et que j'ai renoncé a acheter un échafaudage de "bricoleur". Trop cher (120 €), trop petit, peu mobile. Donc je l'ai fabriqué ; pour "pas cher".
Voyez plutôt : 
2 escabeaux alu 5 marches "entrée de gamme" de chez Brico-dépot (19 € pièce), 2 plateaux sur (4) roulettes (5€ pièce), du bois de récupération, des outils, une après midi de travail, un peu d'idée et le tour est joué !
l'escabeau est posé sur le plateau, ilest fixé grâce à 4 équerres et une tige filetée. 
4 entailles dans le bois, sous les pieds, stabilisent l'escabeau sur le plateau.
8 roulettes donc 4 avec freins (40 kg de charge) assurent la mobilité de "l'escabaudage". La plate-forme de déambulation (2.80 m x 0.35 m) placée sur la quatrième marche permet une hauteur de travail de 2.60 m. Sa longueur importante me permet de couvrir un pan de mur entier. L'escabaudage est entièrement démontable et chaque escabeau peut, à tout moment, retrouver, facilement, son usage premier. Le déplacement dans la pièce et entre les pièces est aisé grâce au roulettes, le poids est raisonnable. la largeur des plateaux et les fixations assurent une grande stabilité, le montage et le démontage sont rapides Le transport ne pose aucun problème. Vive "l'escabaudage". Bientôt une vidéo de démonstration !!!
Au fait, Vive "l'escabaudage" est le 75 ième article posté sur ce blog.
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29 octobre 2008
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22 octobre 2008
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Ca y est, les "bandes" sont terminées et les enduiseurs ont quitté le chantier cet après-midi. La maison est vide ; reste l'immensité de la tâche à accomplir : poncer des dizaines de m² de placo avant de pouvoir les peindre. Néanmoins la qualité de finition des enduits devrait nous faciliter le travail. Une cale à poncer, du papier de 100/120, un masque et, surtout de l'huile de coude... Et de la patience. D'après François, l'un des enduiseurs, il faut compter environ 3 bonnes heures par chambre ! Allez courage...
Les travaux "spectaculaires" sont maintenant terminés, la maison a désormais sont aspect quasi définitif. L'électricité est bien avancée ; reste le tableau de fusible. La VMC et le chauffage viendront un peu plus tard ; tout comme, d'ailleurs, la plomberie.
L'affaire qui nous occupe actuellement est le ravoyage. Ensuite viendra la pause de l'isolation du sol en polystyrène extrudé (Knauf thane 24), puis celle du câble électrique chauffant. Enfin le chapiste pourra couler la chape liquide. Il nous faudra alors attendre 4 semaines avant l'intervention du carreleur. C'est long 4 semaines !
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