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3 mai 2009
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Pas de maison ossature bois, pas de panneau solaire sur le toit, de géothermie, pas de puit canadien, d'éolienne, pas d'isolant en chanvre ou en laine de mouton, pas de label HQE... Mais une citerne de récupération des eaux de pluie ! C'est tout ce que notre porte-monaie a bien voulu financer. Les crédit d'impôt c'est bien beau mais l'argent, il faut bien l'avancer pour effectuer les travaux et ce n'est pas encore le percepteur qui règle les factures d'installation de matériels "écolo".Donc pour l'heure, nous nous contenterons de notre citerne en béton de 5000 litres. Celle-ci est approvisionnée par environ 70 % de la surface du toit ; et avec le climat franc-comtois, cette contenance est, a priori, suffisante pour notre usage. La cuve est enterrée à coté de la maison. Le coût de l'intallation est de 1500 € dont, je crois, 40 % de crédit d'impôt. Actuellement, elle alimente un robinet extérieur pour l'arrosage du jardin. Plus tard, les wc et la machine à laver le linge seront également raccordés. L'eau est puisée grace à une pompe couplée à un contrôleur automatique : "on ouvre le robinet, la pompe démarre, on ferme le robinet, la pompe s'arrête", c'est pratique et c'est une alternative au groupe surpresseur avec réservoir. La pompe est installée sous la serre, c'est à cet endroit qu'arrive le tuyau de puisage.
La soudure cuivre n'étant pas ma spécialité, j'ai opté pour le système EASYTUBE : on coupe, on colle et c'est raccordé, un jeu d'enfant !
La pompe achetée chez Castorama "MAC ALISTER" 1300 w avec, au-dessus, le contrôleur automatique de marque Castorama (150 € l'ensemble).
L'alimentation en eau du robinet avec un tuyau de diam. 20
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